
Ami·e·s de l’IREF,
N’est-il pas possible de croire maintenant que le plus gros du mauvais temps est derrière nous et que nous sommes à reprendre notre souffle pour poursuivre nos projets et nos engagements? Sincèrement, je nous le souhaite. Et pourquoi pas en harmonie avec ces zooms et ces teams qui ont bouleversé notre monde et ce présentiel qui n’a de nouveau que le nom, puisqu’il est le format d’échanges le plus habituel qui soit.
Ce que j’espère tout autant, c’est que l’année 2022 génère de nouvelles et inédites collaborations, consolide nos acquis tout en amplifiant nos ressources comme nos expertises et anime nos échanges afin que nos débats soient à la fois fructueux et bienveillants. L’année 2022 sera l’année d’un travail soutenu vers le renouvellement d’un certificat en études féministes et la création d’un baccalauréat en études féministes, signature distincte de l’UQAM parmi les universités francophones. L’année 2022 sera à l’image de son équipe qui a à cœur la vitalité de l’IREF, mais aussi à celle de ses membres qui ne cessent de s’accroitre et contribuent à la formation d’un réseau reconnaissable à ses engagements envers la communauté.
À l’aube (!) ou à l’orée (!) de la nouvelle année, je nous souhaite du bon temps de repos et la bonne forme pour profiter de ce que nous avons accompli et de nos aspirations légitimes à garder le cap sur le bien-fondé de nos enseignements et de nos recherches.
Thérèse St-Gelais, directrice de l’IREF