• Offres d'emplois en études féministes
     

Étiquette : prix

Félicitations à Magda Fahrni qui est admise à la Société royale du Canada

Magda Fahrni, du Département d’histoire, et membre professeure à l’IREF est admise par ses pairs au sein des académies de la Société royale du Canada (SRC). Cette reconnaissance, attribuée pour des réalisations académiques, scientifiques et artistiques exceptionnelles, constitue le plus grand honneur qui puisse être accordé à une personne œuvrant dans les domaines des arts, des sciences sociales et des sciences.

L’expertise de Magda Fahrni en histoire des femmes et de la famille, en histoire de Montréal et en histoire sociale de la santé au 20e siècle est reconnue au Québec, au Canada anglais et à l’international. Ses publications nombreuses et variées, les prix importants qu’elle a reçus et les nombreuses subventions qu’elle a obtenues témoignent de la qualité exceptionnelle de ses travaux de recherche.

Membre du Groupe d’histoire de Montréal, une équipe de recherche interuniversitaire basée à l’UQAM, du Laboratoire d’histoire et de patrimoine de Montréal ainsi que de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF), Magda Fahrni codirige la collection «Études d’histoire du Québec» aux McGill-Queen’s University Press.

Magda Fahrni est l’autrice, entre autres, de Household Politics: Montreal Families and Postwar Reconstruction (University of Toronto Press, 2005), ouvrage qui s’est mérité le Prix Clio-Québec décerné par la Société historique du Canada en 2006, et de Of Kith and Kin: A History of Families in Canada (Oxford University Press, 2022). Co-autrice de Canadian Women: A History, 3e édition (Nelson, 2011), elle a également co-dirigé les ouvrages collectifs Creating Postwar Canada: Community, Diversity, and Dissent (University of British Columbia Press, 2008) et Epidemic Encounters: Influenza, Society, and Culture in Canada, 1918-1939 (University of British Columbia Press, 2012).

Lire le reste de l'article dans Actualités UQAM

Prix d’excellence en enseignement de la FSH pour Julie Lavigne

Julie Lavigne, Département de sexologie, membre professeure à l’IREF a reçu, le 24 janvier 2023, le Prix d’excellence en enseignement — Carrière

De l’histoire de l’art à la sexologie, la professeure Julie Lavigne n’a pas eu un parcours universitaire orthodoxe. Même dans un département interdisciplinaire comme celui de sexologie, la place qu’elle occupe éveille encore la curiosité. Après avoir obtenu son doctorat en histoire de l’art de l’Université McGill, Julie Lavigne a effectué un stage postdoctoral au Centre de recherche en éthique de l’Université de Montréal (CRÉUM) avant d’être embauchée comme professeure au Département de sexologie en 2007. Julie Lavigne est nouvellement directrice des programmes de premier cycle en sexologie. Durant sa carrière de professeure, elle a élaboré et donné une dizaine de cours aux trois cycles, qui portent notamment sur les questions entourant les sexualités, les genres et les féminismes.

La professeure Lavigne travaille depuis en étroite collaboration avec l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) dont elle est membre depuis 2007. Elle y a d’ailleurs occupé plusieurs autres fonctions, dont la direction adjointe à la recherche de 2017 à 2019. Elle est également membre professeure du Réseau québécois en études féministes (RQEF) depuis sa création en 2011.

Ses recherches, qui viennent nourrir son enseignement, portent sur la représentation de la sexualité en art contemporain, ou dans les téléséries ou encore en lien avec la pornographie féministe et queer. Ses champs théoriques et thématiques tournent autour des scripts sexuels, de l’agentivité sexuelle et des théories féministes et queer sur les sexualités. Elle a publié l’ouvrage La traversée de la pornographie : Politique et érotisme dans l’art féministe aux éditions du Remue-ménage en 2014. Elle a aussi codirigé un numéro de la revue Recherches Féministes sur Femmes et pouvoir érotique. Enfin, ses articles ont été publiés dans des revues telles que Glad !, Feminist Media Studies, Genre, sexualité & société, Recherches Féministes, Les Ateliers de l’éthique, Symposium : Revue canadienne de philosophie continentale.

Pour souligner sa contribution remarquable à l’enseignement au sein de la Faculté des sciences humaines, la faculté octroie un Prix d’excellence en enseignement — Carrière à cette professeure exceptionnelle.

Karen Messing, lauréate du Prix Leo Panitch du meilleur livre

Ergonome et généticienne de renommée internationale, la professeure émérite du Département des sciences biologiques Karen Messing, membre honoraire associée à l'IREF, est la lauréate 2021 du Prix Leo Panitch du meilleur livre, qui récompense le meilleur ouvrage en études canadiennes sur le travail et le syndicalisme. La chercheuse a été honorée pour son livre Bent out of Shape: Shame, Solidarity and Women’s Bodies at Work (BTL Books, Toronto), traduit en français par Geneviève Boulanger sous le titre Le deuxième corps. Femmes au travail, de la honte à la solidarité (éditions Écosociété). 

Lire la suite de l'article

Prix d'excellence pour la professeure Chiara Piazzesi

Félicitations à notre membre Chiara Piazzesi, professeure au Département de sociologie, qui obtient le prix Louise-Dandurand du Fonds de recherche du Québec – Société et culture, assorti d’une bourse de 2 000 dollars, pour l’article intitulé «Selfies de femmes, négociation normative et production de culture visuelle sur Instagram et Facebook», publié dans la revue Recherches féministes. Première autrice de l’article, la professeure le cosigne avec la doctorante en sociologie Catherine Lavoie Mongrain.

Lire la suite dans l'article publié le 3 mars 2022 sur le site d'Actualités UQAM

Doctorat honorifique de l'UQAM à Joséphine Bacon

L’Institut de recherches et d’études féministes s'est joint à la Faculté des arts avec trois autres partenaires afin de présenter la candidature de Madame Joséphine Bacon, poète, pour un doctorat honoris causa. Ces partenaires sont : le Département d’études littéraires, le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoises (CRILCQ) à l’UQAM et le Laboratoire international de recherche sur l’imaginaire du Nord, de l’hiver et de l’Arctique.

Photo: AvdK- De gauche à droite: Joanne Lalonde, doyenne de la Faculté des arts; Viviane Michel, présidente Femmes autochtones du Québec; Daniel Chartier, directeur du Laboratoire international de recherche sur l'imaginaire du Nord, de l'hiver et de l'Arctique; Joséphine Bacon, lauréate; Thérèse St-Gelais, directrice de l'IREF; Geneviève Pagé, directrice de l'Unité de programmes en études féministes.

Les doctorats honoris causa de l'UQAM
Le doctorat honoris causa de l'UQAM est un diplôme honorifique décerné à des personnes au mérite exceptionnel pour l'excellence de leur carrière universitaire, professionnelle, scientifique ou artistique, ou qui ont contribué de façon remarquable au progrès de la société ou à l'avancement du mieux-être de la collectivité.

Joséphine Bacon est autrice de poésie et de contes publiés aux Éditions Mémoire d'encrier, elle rend hommage au territoire, aux ancêtres et à la langue innu-aimun. Sa poésie-témoignage nous plonge dans l’intensité de la parole des aîné·e·s et dans les horizons des femmes guides. Née en 1947 à Pessamit, sur la Côte-Nord du Québec, la poète grandit dans la toundra avant son envoi au pensionnat de Maliotenam, où elle passe 14 années de sa vie. Elle s'installe à Montréal au tournant des années 1970, où sa maîtrise de la langue innu-aimun l'amène à devenir interprète et guide auprès d'anthropologues intéressés par les Premiers Peuples du Québec et du Labrador. Son premier recueil de poésie, Bâtons à message, paraît aux éditions Mémoire d'encrier en 2009. Ses textes bouleversants évoquent d'un même souffle l'immensité du territoire, la liberté d'un peuple en marche et la fragilité d'une identité menacée.

En lui décernant un doctorat honoris causa, l'UQAM rend hommage à Joséphine Bacon, reconnue pour sa remarquable contribution au milieu culturel et littéraire québécois ainsi que pour ses efforts de préservation de la langue et des traditions innues. L'IREF est de fier sa collaboration à la reconnaissance que lui témoigne l'UQAM par l'octroi d'un doctorat honorifique le 26 octobre 2021.

Donna Mergler reçoit la Médaille de l’UQAM

La professeure émérite, membre honoraire de l'IREF, Donna Mergler, a reçu, le 26 octobre 2021, la Médaille de l’UQAM, décernée à des personnes ayant atteint un haut degré de réalisation et de rayonnement, ou ayant rendu d’éminents services à l’Université. La chercheuse s’est distinguée, entre autres, par son apport à l’enrichissement du savoir scientifique sur les effets néfastes de contaminants sur la santé humaine. Elle a ainsi dévoilé les effets neurotoxiques à long terme de l’exposition au mercure chez des populations de l’Amazonie et mis en lumière l’empoisonnement au mercure et la mortalité précoce que subissait la communauté autochtone Grassy Narrows, en Ontario.

Donna Mergler a dirigé, notamment, le Centre de recherche interdisciplinaire sur le bien-être, la santé, la société et l’environnement (CINBIOSE), qu’elle a cofondé en 1987. Depuis, le CINBIOSE a été reconnu comme centre collaborateur de l’Organisation mondiale de la santé et de l’Organisation panaméricaine de la santé. Dans les années 2000, la professeure a mis sur pied les communautés de pratique en approches écosystémiques de la santé d’Amérique latine et des Caraïbes, en plus de participer à l’émergence de celle du Canada.

En 1990, avec sa collègue Karen Messing, également membre honoraire de l'IREF, la professeure a reçu le prix Muriel-Duckworth de l’Institut canadien de recherche sur les femmes. Membre de l’Ordre de Montréal, elle a aussi obtenu, en 1995, le prix Michel-Jurdant en sciences de l’environnement, remis par l’Acfas, et le titre de Femme scientifique de distinction, en 2008, décerné par le Centre de recherche en développement international du Canada. En janvier dernier, la publication de ses résultats de recherche sur la mortalité reliée à l’exposition au mercure des communautés autochtones de Grassy Narrows a été retenue parmi les 10 découvertes de l’année du magazine Québec Science et comme le meilleur article en épidémiologie environnementale 2020 par la Société internationale d’épidémiologie environnementale.

Nomination aux prix GG pour une étudiante en études féministes, Jennifer Bélanger

Félicitations à Jennifer Bélanger, doctorante en études littéraires avec concentration en études féministes (et diplômée de la maîtrise) : son roman Menthol, publié chez Héliotrope, est en nomination aux Prix littéraires 2020 du Gouverneur général, dans la catégorie Romans et nouvelles. Découvrez les livres gagnants le 1er juin prochain.

https://livresgg.ca/#finalistes

Le livre «Le boys club» remporte le Grand Prix du livre de Montréal

L’essai de notre membre professeure à l'IREF, Martine Delvaux,  publié aux Éditions du remue-ménage remporte le Grand Prix du livre de Montréal qui vise à promouvoir l'excellence en création littéraire et à souligner le dynamisme du milieu montréalais de l'édition. Toutes nos félicitations à Martine et aux Éditions du remue-ménage!

Le boys club: «Ils sont tournés les uns vers les autres. Ils s'observent et s'écoutent. Ils s'échangent des idées, des armes, de l'argent ou des femmes. Dans cet univers clos réservé aux hommes, le pouvoir se relaie et se perpétue à la façon d'une chorégraphie mortifère. Le boys club n'est pas une institution du passé. Il est bien vivant, tentaculaire: État, Église, armée, université, fraternités, firmes… et la liste s'allonge.

À la manière d'une chasse à l'image, c'est dans les représentations au cinéma et à la télévision que Martine Delvaux le traque. Véritable plongée en eaux noires, ce livre nous invite à considérer l'entre-soi des hommes comme un phénomène régressif. Un dispositif à profaner, déconstruire, refuser, parce que nos vies comptent(Source: les Éditions du remue-ménage)

Lire la suite du communiqué de presse

Line Chamberland, membre professeure de l'IREF, a été honorée par le réseau UQ avec le Prix d’excellence du partenariat

Félicitations à Line Chamberland, membre professeure, qui a été honorée par le réseau UQ.

"Pionnière dans le domaine des études sur la diversité sexuelle, Line Chamberland se distingue par la valeur des connaissances produites en étroite collaboration avec ses nombreux partenaires. Reconnus pour leur pertinence sociale, leur rigueur et leur qualité scientifique, ses travaux ont généré des retombées concrètes et contribué à lever des obstacles à la pleine inclusion des personnes issues des minorités sexuelles et de genre.

La professeure est titulaire de la Chaire partenariale de recherche sur l’homophobie. Lors de sa création, en 2011, cette chaire était la première du genre au Canada et la seconde en Amérique du Nord, après celle de l'Université Harvard. Incubateur de projets et d’initiatives sur la diversité sexuelle et de genre, la chaire a contribué au développement d’outils de sensibilisation, de programmes d’intervention, de formations spécialisées et de stratégies d’action permettant de combattre les préjugés, d’enrayer la violence homophobe et transphobe, de promouvoir l’égalité des droits et de favoriser le mieux-être des personnes des minorités sexuelles et de genre."

LIRE LA SUITE DE L’ARTICLE DANS ACTUALITÉS UQAM

Institut de recherches et d'études féministes

Créé en 1990, l’Institut de recherches et d’études féministes a pour mission de promouvoir et de développer la formation et la recherche féministes dans une perspective interdisciplinaire. Il constitue un regroupement de plus de 700 membres professeur·e·s, chercheur·e·s, chargé·e·s de cours, professionnel·le·s, étudiant·e·s de l’UQAM, ainsi que des membres associé·e·s.

Coordonnées

Institut de recherches et d’études féministes
Local A-3700
400, rue Sainte-Catherine Est
Montréal (Québec) H2L 2C5