Violences, savoirs et care: Qu’en est-il de la santé?
Limite: 5000 mots Types de contributions acceptées: créations (poésie, réflexion, nouvelle, etc.), articles scientifiques, essais, analyses littéraires, art visuel, photos, etc.
Dans un contexte où la santé est de plus en plus considérée comme une expérience multidimensionnelle et socialement construite, des voix issues de diverses perspectives interrogent les conceptions traditionnelles du soin et remettent en question la suprématie médicale. Des initiatives émergent en dehors des cadres institutionnels pour explorer des formes alternatives de soutien et de guérison, mettant en lumière les limitations et les injustices systémiques présentes dans les milieux de soin. Des réflexions sur la diversité des expériences de santé, l'accès aux soins, les discriminations vécues et la nécessité d'une approche intersectionnelle du care émergent, invitant à repenser la santé et le soin dans toute leur complexité et leur diversité, au-delà des paradigmes conventionnels et centrés sur le médical.
Date limite: 5 SEPTEMBRE 2024 feminetudes.textes@gmail.com
La revue étudiante et féministe FéminÉtudes recrute de nouvelles personnes pour faire partie de son comité d’édition du prochain numéro (25). Deux options sont possibles : faire partie du comité permanent (implication d’un an au moins) ou faire partie d’un sous-comité spécialisé dans un domaine précis (implication de 6 mois).
La date limite pour envoyer sa candidature (courte lettre de motivation et CV) est le 12 février 2024. Nous contacterons les personnes candidates à la fin février et des entrevues suivront début mars.
Appel à communication : L’Institut de Recherches et d’Études Féministes (IREF-UQAM), le Département des sciences juridiques de l’UQAM et l’IDHES-ENS Paris-Saclay organisent un colloque sur le thème:
«Penser les catégories pénales à l’aune des sciences sociales : savoirs et expériences situés» qui aura lieu du 18 au 20 septembre 2023 – à l’UQAM. (Échéance : 15 février)
Natacha Chetcuti-Osorovitz (CentraleSupelec et IDHES ENS Paris-Saclay), Annie Kensey (CESDIP/CNRS, Contrôleure extérieure au Contrôle Général des Lieux de Privation de Liberté (CGLPL), Ainhoa Ozaeta (Université du Pays basque, UPV), Cynthia Colmellere (Centrale Supelec et IDHES ENS Paris-Saclay). Comité d’organisation : Rachel Chagnon (UQAM), Hildgen Bronja (UQAM).
L'IREF publie régulièrement des offres d'emplois et des appels à contributions en lien avec les études féministes ou pour des personnes qui étudient en études féministes.
Le mandat de la direction adjointe à la recherche à l’IREF est le suivant :
Favoriser l’émergence et l’accueil de regroupements concertés de chercheur·e·s féministes;
Travailler à l’organisation de séminaires et de conférences dans le champ de recherches et d’études féministes, ouverts à l’ensemble de la communauté universitaire;
Susciter, soutenir, promouvoir et rendre visibles les activités de recherche développées par les membres dans le champ des études féministes;
Promouvoir et coordonner les relations d’échanges, de concertation et de collaboration entre les chercheur·e·s de l’UQAM dans le champ de recherches et d’études féministes et développer les relations avec l’extérieur;
Pour l'année 2023, plus concrètement, il s'agit d' :
Assister aux rencontres mensuelles du comité de direction;
Assister aux 4 rencontres du Conseil de l'IREF
Représenter l'IREF aux rencontres du Conseil scientifique du RéQEF.
Travailler à la recherche de financement pour soutenir les principaux projets en cours :
Le portail BiblioFEM réalisé en collaboration avec le service des bibliothèques de l’UQAM et l’OFDIG. Ce portail de recherches de références bibliographiques en études féministes permettra la diffusion de littératures scientifiques et de littératures grises en études féministes, en libre accès, en facilitant la recherche, la consultation et le croisement des informations;
La publication de textes traduits : « Pour une diversification des voix féministes dans l’enseignement francophone : traduction de textes théoriques à des fins pédagogiques »;
Le développement de conférences issues des recherches menées dans le cadre du Protocole Relais-femmes et données par des personnes représentantes des groupes communautaires dans les cours FEM afin de mieux intégrer dans la formation la dimension recherche - action et ses retombées scientifiques;
Pérenniser le poste de direction adjointe à la recherche
Qu'est-ce qui se bricole au Protocole UQAM/Relais-femmes?
40 ans de retombées au service des savoirs et de l'action féministes
Pour les textes de cette publication dans les Cahiers de l’IREF, un accent particulier mis sur leurs retombées concrètes des projets de recherche-action. Dans ce contexte, cette publication vise non seulement à rassembler, mais aussi à approfondir les retombées scientifiques et sociopolitiques des projets, le tout afin de faire valoir leur impact entrecroisé et structurant pour la recherche-action partenariale au Québec et leurs effets concrets sur les femmes* dans leurs pluralités.
Votre proposition (300 mots) doit identifier : o Les personnes autrices et collaboratrices du texte, leurs coordonnées et le nom/coordonnées de la personne-contact principale, qui sera responsable des relais avec l’ensemble de l’équipe partenariale o Le ou les projets sur lesquels portera votre texte o Si vous entrevoyez soumettre des contenus médiatiques complémentaires et si oui, préciser leur nature (images, vidéos, podcasts, URLs, etc.) Les propositions émanant de membres de l'IREF et/ou du RéQEF et impliquant différentes personnes actrices du partenariat comme co-autrices ou collaboratrices du texte (professeures, groupes, étudiantes...) sont particulièrement encouragées. Échéancier : o 9 juin 2022 : transmission de votre proposition (300 mots) o Fin-juin 2022 : sélection des propositions par le Comité scientifique, réponse et transmission du protocole de rédaction o 15 octobre 2022 : remise de la première version de votre texte (5000 mots, tout inclus) et des biographies de chacune des personnes autrices (150 mots) o 15 novembre 2022 : retour par le Comité scientifique des propositions de modification à votre texte, s’il y a lieu o 20 décembre 2022 : remise de la version finale de votre texte. o Mars 2023 : lancement dans la collection des Cahiers de l’IREF à l'UQAM
Les recherches récentes ont montré que plus d’une personne sur trois a vécu des violences sexuelles à l’université. Pourtant, très peu d’entre elles parlent de la situation à leur institution.
Certaines personnes sont plus à risque de vivre des violences sexuelles à l’université : les femmes, les personnes de la diversité sexuelle et de genre, les personnes racisées, les personnes autochtones, les personnes en situation de handicap et les étudiant.es de l’international.
Les histoires partagées permettront d’élaborer des recommandations pour la prise en charge et pour les programmes de prévention dans les universités. Chaque histoire compte pour comprendre comment les dévoilements se passent concrètement. Nous voulons savoir si les universités vont dans la bonne direction ou s’il faut faire des ajustements.
Comment savoir si je peux participer à cette recherche ?
J’ai vécu une situation de harcèlement ou de violence sexuelle en milieu universitaire, par une personne affiliée à la même université que moi.
J’ai parlé de cette situation à une instance ou une ressource de mon université depuis septembre 2019 (Instances universitaires spécialisées, ressources humaines, associations étudiantes, syndicats, supérieur.e hiérarchique, superviseur.e…).
J’ai vécu cette situation pendant que j’étudiais ou travaillais dans une université du Québec, de l’Ontario ou du Nouveau Brunswick.
Je peux participer même si je ne fréquente plus cette université.
Il n’est pas nécessaire d’avoir déposé une plainte formelle à l’instance spécialisée de l’université.
En quoi consiste ma participation ?
La participation au projet consiste à une entrevue de 1h30 par visioconférence ou par téléphone. Nous aborderons votre expérience de dévoilement de la situation vécue dans votre université ainsi que votre perception de ce processus. Tous les renseignements recueillis sont confidentiels, aucune information ne permettra de vous identifier lors de la diffusion des résultats.
Comment participer à la recherche ?
Vous pouvez communiquer avec Ludivine Tomasso, coordinatrice du projet dans l’équipe de la Chaire de recherche, par courriel, message texte ou téléphone : tomasso.ludivine@uqam.ca, 514-816-2067
Vous pouvez laisser vos coordonnées sur le formulaire et nous vous recontacterons au plus vite :
Équipe de recherche et partenaires
Manon Bergeron, Chercheure principale, Université du Québec à Montréal Isabelle Auclair, Université de Laval Karine Baril, Université du Québec en Outaouais Rachel Chagnon, Université du Québec à Montréal Isabelle Daigneault, Université de Montréal Jacinthe Dion, Université du Québec à Chicoutimi Martine Hébert, Université du Québec à Montréal Alexa Martin Storey, Université de Sherbrooke Simon Lapierre, Université d’Ottawa Geneviève Paquette, Université de Sherbrooke Marie-Andrée Pelland, Université de Moncton Sandrine Ricci, Université du Québec à Montréal Lise Savoie, Université de Moncton CALACS de l’Ouest-de-l’île L’Élan-CALACS Centre d’agression sexuelle – Moncton Réseau d’Action des Femmes Handicapées (RAFH-DAWN) Groupe d’Aide sur le Harcèlement au Travail (GAIHST) Conseil Québécois LGBT Lyne Kurtzman, Service aux collectivités de l’UQAM
Ce projet de recherche est financé par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Ce projet de recherche a été approuvé par le comité d’éthique de la recherche de l’UQAM.
Institut de recherches et d'études féministes
Créé en 1990, l’Institut de recherches et d’études féministes a pour mission de promouvoir et de développer la formation et la recherche féministes dans une perspective interdisciplinaire. Il constitue un regroupement de plus de 700 membres professeur·e·s, chercheur·e·s, chargé·e·s de cours, professionnel·le·s, étudiant·e·s de l’UQAM, ainsi que des membres associé·e·s.