• 23e numéro de FéminÉtudes
    23e numéro de FéminÉtudes

Auteur : van_der_a

AG spéciale d’élection à la direction de l’IREF (ce jeudi 30 mars 2023 à 10h en Zoom)

  • Processus de nomination
  • Jeudi 30 mars 2023 à 10h (Zoom) : Assemblée générale spéciale des membres de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF)
  • Élection au poste de Directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes pour un mandat de trois ans débutant le 1er juin 2023 et se terminant le 31 mai 2026

Extrait des Statuts et règlements : La direction de l’Institut est élue par les membres affilié·e·s à l’UQAM de l’Assemblée générale et doit être choisie parmi ses membres professeur·e·s.

L’Assemblée générale recommande la nomination de la personne élue à la Commission des études. Le Conseil d’administration de l’UQAM, sur recommandation de la Commission des études, nomme la directrice, le directeur de l’Institut pour un mandat de trois ans, renouvelable une fois.

La direction de l’IREF :

  • Préside le Conseil et le Comité de direction de l’Institut;
  • Représente le Conseil ainsi que le Comité de direction auprès des instances de l’UQAM ou des organismes extérieurs;
  • Coordonne l’Institut.

Candidature(s) reçue(s) :

La candidature de Thérèse St-Gelais est dûment appuyée par deux membres professeur·e·s. de l’IREF :

  • 1. Geneviève Pagé, Département de science politique
  • 2. Chiara Piazzesi, Département de sociologie

Portail BiblioFEM (+ de 1000 références bibliographiques féministes)

Le 8 mars 2023, l’équipe de l’IREF lançait le Portail BiblioFEM*. Un portail web en construction visant à recenser et rendre disponible les références bibliographiques utilisées dans les recherches et études féministes.

Fruit d’une étroite collaboration entre l’Institut de recherches et d’études féministes de l’UQAM (IREF), le Service des bibliothèques de l’UQAM, le Service aux collectivités de l’UQAM le projet est soutenu par l’Observatoire francophone pour le développement inclusif par le genre (OFDIG).

Pour le moment, plus de 1000 références bibliographiques féministes (mars 2023) y sont intégrées.
Non-exhaustif ce portail vise à être alimenté à court, moyen et long terme, par toute personne désireuse d’y contribuer. Bonne découverte et bon 8 mars!

Ce projet de L’institut est mentionné dans l’article « Études féministes: création d’un portail bibliographique », Actualités UQAM, 8 mars 2023.

bibliographie BiblioFEM

Position de l’IREF sur le Projet de politique nº2 sur la liberté académique universitaire

Université du Québec à MontréalInstitut de recherches et d’études féministes

Extrait du procès-verbal de la réunion du Conseil tenue le 16 février 2023 à 10 h

Contexte

Dans le cadre des consultations de la communauté uqamienne sur le projet de politique nº 2 sur la liberté académique universitaire, l’IREF, par la voie de son Conseil, a souhaité se positionner et souligner des écueils importants de ce projet de politique. Comme personnes étudiantes, enseignantes, chercheures et équipe de travail en études féministes, nous nous penchons depuis longtemps sur certains des enjeux soulevés par cette politique. Nous avons même développé une expertise sur le traitement de certains sujets sensibles dans les salles de classe et dans l’Université de manière plus générale (voir Extrait du procès-verbal de la réunion du Conseil de l’IREF du 12 déc. 2018 « Respect des différents points de vue dans le milieu universitaire »). À la lumière de ces expériences diverses et multiples, nous souhaitons souligner des lacunes de cette politique, dont les modalités de consultation qui ne sont pas nommées dans le projet de politique. La consultation est limitée aux groupes et instances qui représentent principalement les points de vue des personnes enseignantes ou administratrices de l’UQAM. Considère-t-on que les autres composantes de la communauté universitaire ne soient pas touchées par la question de la liberté académique?Qu’advient-il des étudiant·es dans des séminaires aux cycles supérieurs qui ont un rôle fondamental dans l’articulation des contenus et des questionnements développés dans le cadre pédagogique dans ces cours ? Et de ces professionnel·les à la recherche et à la formation qui accompagnent les chercheur·es et les enseignant·es ?

Préambule et Objet (sections 1 et 2)

Ce projet de politique semble avoir comme visée de réaffirmer la « liberté » de pouvoir dire, et ce, peu importe l’effet qu’elle suscite. Or, toute liberté a des balises (dont certaines sont définies par les lois) et toute liberté vient avec des devoirs. En ce sens, il serait important de rappeler les balises à travers lesquelles s’exerce cette liberté, notamment les politiques existantes (Politiques 16, 42, 28 à l’UQAM, et articles 318 à 320.1 du Code criminel) et les devoirs qui l’accompagnent. De manière plus proche du quotidien, la parole « libre » n’est pas garante de démocratisation des savoirs et de favoriser les échanges égalitaires. En particulier, il n’y a aucune mention d’un quelconque devoir de responsabilité de la part de ceux et celles qui jouissent principalement de la « liberté », du fait de leur position d’autorité institutionnelle. Cette liberté dont on parle, c’est la liberté de qui ? Seulement des personnes enseignantes ? Qui peut « choquer », avoir des propos vexatoires en salle de classe ? Les étudiant·es aussi ? Et quelles sont les frontières entre propos qui « choquent », propos vexatoires, discriminatoires et discours haineux ? Toutes ces questions soulignent l’absence d’une réflexion éthique autour de la notion de liberté. Pourquoi ne réfléchissons-nous pas au devoir de prendre soin de la communauté d’apprentissage du point de vue scientifique, mais aussi du point de vue éthique, lequel devrait avoir préséance dans la recherche et l’enseignement universitaire ?

Objet (Section 2)

Il n’est pas coutume dans une politique de spécifier ce que la politique ne fait pas, puisque la liste pourrait être plutôt longue. De plus, le 2e paragraphe de cette section, sous couvert de « ne pas obliger », décourage des pratiques qui sont pourtant utiles, dans beaucoup de cas, à limiter les impacts négatifs d’un contenu sensible. En soulignant qu’« on ne peut empêcher » sans parler des responsabilités qui y sont liées, cette politique n’encourage aucunement la réflexion critique et la construction d’un climat d’échange et de respect autour des sujets « qui sont susceptibles de choquer ». Par conséquent, il nous semble essentiel d’enlever ce paragraphe.

Cadre juridique (section 4)

Le cadre juridique du projet de politique omet plusieurs documents (Charte et règlements) qui tiennent compte des et se doivent de protéger, entre autres, les personnes étudiantes et employées à l’UQAM : Charte des droits et responsabilités des étudiantes et des étudiants ; Politique nº 16 visant à prévenir et à combattre le sexisme et les violences à caractère sexuel ; Politique nº 28 sur les relations interethniques et Politique nº 42 sur le respect des personnes, la prévention et l’intervention en matière de harcèlement.

Responsable de la liberté académique universitaire (section 7)

L’énoncé stipulant que la rectrice, le recteur est responsable de la liberté académique ne permet pas de comprendre comment et pourquoi. Dans quelle mesure cette responsabilité diffère-t-elle de la responsabilité des autres politiques ? Pourquoi ce choix ? Comment cette responsabilité est-elle balisée ? N’est-ce pas le Conseil d’administration qui décide, in fine ? Est-ce un appel à ce que la rectrice, le recteur serve de juge dans toutes les situations de conflits ?

Fonction du Comité sur la liberté académique universitaire (section 8.1)

Le projet de politique propose une approche punitive qui mise sur une sur-juridicisation des conflits dans la communauté universitaire. Le projet n’envisage aucune mesure positive pour former et éduquer au respect et à la responsabilité dans le partage et dans la discussion des idées dans un contexte universitaire. Pour l’instant, la mission du comité n’est que de gérer les plaintes. Elle pourrait également être de promouvoir une culture de respect et d’écoute au sein de la communauté universitaire, donc une mission positive et formatrice, non pas seulement de sanction et de punition. Pourquoi ne pas créer, par exemple, des capsules vidéo qui illustreraient des exemples de conduites respectueuses et éthiques ? Le comité ne pourrait-il pas élaborer un plan (au deux ans) pour favoriser la diversité des opinions et l’écoute entre elles au sein de l’UQAM ?

Composition et nomination du comité de la politique sur la liberté académique universitaire

(section 8.2)

Le projet de politique stipule que les membres du comité seront nommé·es par la rectrice, le recteur. Or, afin d’assurer une redevabilité des personnes le constituant, il importe que les membres du comité soient élu·es à travers les instances qui représentent ces groupes : les professeur·es par le SPUQ, les personnes chargées de cours par le SPPEUQAM, la personne cadre par l’Association des cadres de l’UQAM, les personnes étudiantes par les associations étudiantes, les employé·es de soutien par le SEUQAM, les étudiant·es employé·es par le SÉTUE. Ces procédures ont fait leurs preuves lors de comité sur d’autres politiques (ex. : Politique nº 16) et assurent que les membres du comité sont redevables auprès de la population qu’ils, elles représentent dans les espaces dédiés à ces groupes constituants. La présence des personnes employées est très liminale dans le projet de politique. En particulier, les personnes auxiliaires d’enseignement et les personnes professionnelles de recherche, ou impliquées de par leurs fonctions dans l’enseignement et la recherche, ne sont ni représentées sur le comité de la politique, ni mentionnées parmi les personnes affectées ou au cœur de cette politique.

Modalités de traitement des plaintes portant sur la liberté académique universitaire

(section 9)

Dans sa totalité, la section 9 est particulièrement problématique, compte tenu qu’aucun exemple n’est proposé quant au traitement, à la recevabilité de la plainte et aux mesures qui seront applicables, d’autant que l’approche punitive semble privilégiée et que le projet de politique ne prévoit aucune formation en amont qui porterait sur les responsabilités et devoirs incombant à la communauté universitaire.

RÉSOLUTION C-IREF-2023-02-303

Position de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF) sur le Projet de politique nº 2 sur la liberté académique universitaire

ATTENDU      la politique no 2 sur la liberté académique universitaire proposée par l’UQAM ;

ATTENDU      que cette politique ne représente principalement que les points de vue des personnes enseignantes ou administratrices de l’UQAM ;

ATTENDU      les discussions en séances ;

LE CONSEIL DE l’IREF DEMANDE QUE LES PERSONNES AUTRICES DE LA POLITIQUE Nº 2 :

  • Consultent les personnes étudiantes et professionnelles à la recherche et à la formation qui accompagnent les chercheur·es et les enseignant·es et intègre dans son préambule ces modalités de consultation.
  • Revoient (sections 1 et 2) les frontières entre les propos « qui choquent », les propos discriminatoires, vexatoires et les discours haineux.
  • Réfléchissent (sections 1 et 2) à notre responsabilité et notre devoir – en tant qu’établissement d’enseignement universitaire – de prendre soin de la communauté d’apprentissage du point de vue éthique.
  • Retirent (section 2) le deuxième paragraphe qui concerne l’avertissement lorsqu’une activité propose un contenu susceptible de choquer.
  • Ajoutent au cadre juridique (section 4) la Charte et les politiques suivant·es :
  • Charte des droits et responsabilités des étudiantes et des étudiants ;
  • Politique nº 16 visant à prévenir et à combattre le sexisme et les violences à
    caractère sexuel ;
  • Politique nº 28 sur les relations interethniques ;
  • Politique nº 42 sur le respect des personnes, la prévention et l’intervention en matière de harcèlement.
  • Précisent (section 7) les raisons qui expliquent que la liberté académique soit de la responsabilité de la rectrice, du recteur.
  • Considèrent (section 8.1) l’intégration de mesures positives pour former et éduquer au respect et à l’écoute dans le partage et la discussion des idées dans un contexte universitaire.
  • S’en remettent aux instances reconnues pour la nomination des membres du Comité sur la liberté académique universitaire (section 8.2), soit :
  • Le Syndicat des professeurs et des professeures de l’Université du Québec à Montréal (SPUQ) ;
  • Le Syndicat des professeures et professeurs enseignants de l’UQAM (SPPEUQAM) ;
  • L’Association des cadres de l’Université du Québec à Montréal (ACUQAM) ;
  • Le Syndicat des employées et des employés de l’UQAM (SEUQAM) ;
  • Le Syndicat des étudiantes et des étudiants employé·es de l’UQAM (SÉTUE) ;
  • Les associations étudiantes.
  • Indiquent (section 9) plus explicitement quelles sont les modalités de traitement des plaintes portant sur la liberté académique universitaire et quels en sont les objectifs.

IL EST PROPOSÉ par Thérèse St-Gelais, APPUYÉ par Geneviève Pagé,

QUE le Conseil de l’IREF fasse parvenir ses recommandations au Secrétariat des instances.

Personne ne demande le vote.

ADOPTÉE À L’UNANIMITÉ

Avis de vacance et appel de candidatures à la direction de l’IREF (23 mars 2023)

  • Du 13 au 23 mars 2023: Avis de vacance et appel de candidatures auprès des membres professeures de l’IREF
  • Du 24 mars au 30 mars 2023: Affichage des candidatures sur le site Web de l’IREF
  • Jeudi 30 mars 2023 à 10h (Zoom): Assemblée générale spéciale des membres de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF)

AVIS AUX MEMBRES PROFESSEURES DE L’IREF

Appel de candidatures au poste de Directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes pour un mandat de trois ans,

  • débutant le 1er juin 2023 et se terminant le 31 mai 2026

Les critères de sélection de la candidate sont les suivants :

  • être professeure à l’UQAM et membre de l’IREF ;
  • être en mesure d’assurer un leadership en matière de développement et de rayonnement des activités de recherche et de formation à l’IREF, au sein de l’UQAM et à l’extérieur ;
  • avoir une bonne connaissance de l’IREF, son fonctionnement, sa mission ;
  • avoir et défendre des visions féministes ;
  • être disponible pour assumer les tâches et responsabilités afférentes au poste.

Avantages liés au poste de directrice de l’Institut :

  • 2 dégrèvements par année ;
  • prime de direction, tel que prévu à l’article 26.09 de la convention collective du SPUQ.

Période de mise en candidatures et d’élection :

  • Mise en candidatures du 13 mars au 23 mars 2023;
  • Affichage des candidatures sur le site Web de l’IREF du 24 mars au 30 mars 2023 : www.iref.uqam.ca  
  • Élection le 30 mars 2023 de 10 h à 11 h sur Zoom

Veuillez remplir ce formulaire, les candidatures doivent être appuyées par deux membres de l’IREF et envoyées à iref@uqam.ca


Modification majeure du Certificat en Études féministes à l’UQAM

IREF, 1er mars 2023 – Un nouveau Code de programme 4685 pour le Certificat en études féministes.

Depuis sa création en 2006, presque 500 personnes ont un diplôme de Certificat en études féministes de l’UQAM (476 au 1er mars 2023)

Après 15 ans d’existence, il est temps d’annoncer une modification majeure de ce programme. Une bonne part du dynamisme de l’Institut de recherches et d’études féministes (IREF), qui développe ce programme, est assuré par les personnes étudiantes qui représentent la relève féministe à l’UQAM. Le Certificat se porte bien et connaît une hausse presque constante d’inscriptions. Depuis les premières 30 inscriptions à l’automne 2007, nous avons plus que quadruplé ce total pour atteindre 141 inscriptions actives à l’automne 2022.

Les changements majeurs de la modification de 2023 :

– 3 cours obligatoires

– 7 cours à thématiques actuelles en études féministes

Afin de mieux intégrer les savoirs émergents, 7 nouveaux cours permettent un espace d’apprentissage interdisciplinaire de thématiques actuelles regroupées dans un nouveau bloc.

– 24 cours optionnels supplémentaires

En plus des 35 cours optionnels existants, issus de 13 programmes, la modification ajoute 24 cours supplémentaires créés plus récemment par les différents programmes à l’UQAM, afin de renforcer l’interdisciplinarité et l’intersectionnalité au cœur de ce programme en études féministes. Le programme propose pour la première fois des cours venants du Département d’éducation et de formation spécialisées (ASC), du Département d’organisation et ressources humaines (ORH) ainsi que de l’École des médias (EDM) et de l’École supérieure de mode (MOD). Les réformes des baccalauréats de sociologie (SOC) et de sexologie (SEX) ont rajouté un nombre considérable de cours qui touchent aux questions féministes.

  1. ASC2039 – Éducation et condition féminine
  2. COM4042 – La dimension symbolique de la culture
  3. COM5170 – Communication internationale et question de genre
  4. EDM1805 – Médias, technologie et perspectives féministes
  5. HAR4610 – Art et altérité
  6. HAR4615 – Le corps et ses enjeux dans l’art
  7. HAR4645 – L’art de la performance au Québec et au Canada
  8. JUR1044 – La sexualité et la loi
  9. MOD5342 – Théorie de la mode et identité culturelle
  10. ORH2130 – Organisations: conflits et violences
  11. ORH2202 – Gestion de la diversité: perspectives nationale et internationale
  12. PHI2030 – Philosophie de la sexualité, de l’amour et de l’amitié
  13. POL5480 – Violence et politique
  14. SAC2100 – Mouvements sociaux : actions et significations culturelles
  15. SAC3120 – Action culturelle, femmes et féminismes
  16. SEX1183 – Épistémologie et histoire des idées sur les sexualités
  17. SEX1283 – Intersectionnalité et sexualités
  18. SEX1911 – Pornographies et société
  19. SEX1920 – Sexualités, incapacités et capacitisme
  20. SEX1930 – Sexualités, inégalités sociales et itinérance
  21. SEX2283 – Sexualités, cultures et ethnicité
  22. SOC2013 – Perspectives féministes intersectionnelles
  23. SOC2014 – Sociologie queer
  24. SOC3022 – Sociologie du genre et des sexualités

Le Certificat (un diplôme de 10 cours) est toujours offert à temps complet et à temps partiel. On peut s’y inscrire autant à l’automne qu’à l’hiver. Une autre nouveauté de cette réforme propose de s’inscrire dès la session de printemps-été et de débuter son parcours en études féministes en s’inscrivant au cours en modalité d’enseignement hybride offert au Campus de Longueuil, le FEM1100 – Initiation pluridisciplinaire aux études féministes (offert ce printemps 2023, (du 6 mai au 17 juin 2023 encore quelques places disponibles).

DATES LIMITES DES DEMANDES D’ADMISSION AU CERTIFICAT EN ÉTUDES FÉMINISTES :

CERTIFICATCODEAUTOMNE
2023

Temps
complet
AUTOMNE
2023

Temps
partiel
HIVER
2024
               
Études féministes46851er mai1er août1er nov.

Questionnaire adressé aux personnes intéressées à s’inscrire en études féministes à l’UQAM : SVP, veuillez remplir le sondage d’ici le 15 avril 2023.

En plus d’avoir le choix entre un Certificat (10 cours) ou une Concentration (6 cours) au 1er cycle, nous souhaitons savoir si vous inscrire dans un baccalauréat en études féministes pluridisciplinaire (30 cours) vous intéresserait. Lien direct vers le sondage de 15 questions : https://sondage.uqam.ca/484711?lang=fr

Concours: séjour de recherche à l’IREF en 2023-2024 (30-04-2023)

Objectifs

Accueillir une personne titulaire d’un doctorat pour un séjour de recherche à titre de professeur·e associé·e à l’Institut de recherche et d’études féministes de l’UQAM entre septembre 2023 et juin 2024 (4 mois).

Description

Créé en 1990, l ’Institut de recherches et d’études féministes a pour mission de promouvoir et de développer la formation et la recherche féministes dans une perspective interdisciplinaire. Il constitue un regroupement de plus de 660 membres issus du corps professoral, du personnel enseignant, du personnel de soutien, du milieu de la recherche et des personnes étudiantes.

Avec cette offre de séjour de recherche au sein de l’Institut de recherche et d’études féministes de l’UQAM pour une période de 4 mois (entre septembre 2023 et juin 2024), les personnes sélectionnées bénéficient du titre de professeur·e associé·e à l’UQAM (accès aux bibliothèques et aux espaces de l’université).

L’équipe de l’Institut, encourage les collaborations étroites et directes avec les membres et la participation aux activités d’études et de recherche de l’IREF.

Accès, espace et financement

L’IREF met à la disposition de la personne sélectionnée, un accès aux services de l’Université, un bureau de travail, une ligne téléphonique et s’assure d’obtenir les accès au campus.

Le financement disponible est de 800 $, géré par l’IREF, pour la durée du séjour et sert à couvrir les dépenses liées :

  • à l’organisation d’activités publiques (colloques, séminaires, présentations, etc.)
  • à la reproduction de textes (impression, droits d’auteurs)
  • aux frais de représentation dans le cadre de rencontre de réseautage.

Toutes autres dépenses ou frais sont à assumer par d’autres sources de financement.

Processus d’évaluation et de sélection :

Admissibilité :

  • Être titulaire d’un doctorat
  • Démontrer la pertinence de ses activités de recherche en lien avec les objectifs de l’IREF.

Sélection :

La sélection est faite par le Conseil de l’IREF sur recommandation du comité d’évaluation, composé de membres professeurs.es de l’IREF.

Les critères suivants sont pris en compte :

  • Résultats escomptés du séjour sur le parcours de la personne candidate au niveau de la recherche
  • Rayonnement des activités de partage des connaissances envisagées durant le séjour
  • Activités de réseautage possible entre la personne candidate et les chercheur·e·s/partenaires de l’IREF
  • Cohérence du projet de recherche proposé en lien avec les axes et thèmes de recherche de l’IREF

Dossier de candidature :

  • CV
  • Lettre de présentation précisant :
  • les liens avec les thématiques de l’IREF
  • les activités de mobilisation des connaissances envisagées (grande conférence, atelier, journée d’étude, colloque, publication, capsule de formation, etc.)
  • la durée et les dates du séjour

Les personnes intéressées doivent faire parvenir leur dossier de candidature à iref@uqam.ca au plus tard le 30 avril 2023

Identité visuelle de l’IREF

*

L’IREF s’affiche avec un astérisque afin de résumer les inclusivités des femmes*.

Pourquoi ce changement d’identité visuelle à l’IREF en 2022?

Le symbole graphique de l’astérisque* rend compte de l’inclusivité; de l’écriture inclusive, féministe et épicène. Ce visuel est là pour essaimer nos savoirs. Pour régénérer (revitaliser) nos pratiques.

L’astérisque est à la fois autoréflexif, individuel, mais également, collectif, c’est un symbole qui rend compte d’un changement sociétal des identités.

Par l’astérisque nous souhaitons éclater les cadrages de la pensée et nous assumons l’idée d’un changement de paradigme.

  • Parce que les femmes* sont inclusives, diversifiées et intersectionnelles.
  • Parce que l’IREF, après plus de 30 ans, se fonde sur des bases qui tiennent compte davantage des diversités.
  • Parce que l’IREF se veut un espace pour agir; unir; affirmer; transformer; mobiliser; soutenir (dans la différence); consolider; diversifier et reconnaître le « nous » inclusif de l’*.
  • Parce que les études féministes ne cloisonnent pas les savoirs, au contraire, elles se battent contre l’enfermement imposé aux femmes*.

Téléchargement des logos de l’IREF sur notre page Wiki

Colloque: Perspectives queers en recherche et en création (propositions jusqu’au 20-03-23)

Appel à communication :

Du 20 au 24 novembre 2023 à Montréal

Ce colloque vise à rendre compte des pratiques, théories et micropolitiques queers qui circulent dans et autour du monde universitaire francophone en rassemblant des contributions à la croisée des arts, du droit, des sciences politiques, des sciences humaines et sociales et des sciences de l’éducation.
Date limite : 20 mars 2023
En savoir plus !

Colloque organisé par l’Institut de Recherches et d’Études Féministes (IREF-UQAM)

La doctorante Geneviève De Breyne-Gagnon obtient la plus prestigieuse bourse d’études supérieures au Canada.

Bravo à Geneviève De Breyne-Gagnon, étudiante au doctorat en science politique et inscrite à la concentration en études féministes au 3e cycle, qui vient de recevoir une bourse Vanier. Elle s’intéresse à la co-optation de l’intersectionnalité dans l’espace public. Dans le cadre de sa thèse, elle fera une étude de cas de coalitions féministes ontariennes et québécoises.

https://actualites.uqam.ca/2023/laureates-bourse-vanier/

Institut de recherches et d’études féministes

Créé en 1990, l’Institut de recherches et d’études féministes a pour mission de promouvoir et de développer la formation et la recherche féministes dans une perspective interdisciplinaire. Il constitue un regroupement de plus de 750 membres professeur·e·s, chercheur·e·s, chargé·e·s de cours, professionnel·le·s, étudiant·e·s de l’UQAM, ainsi que des professeur·e·s et des membres associé·e·s.

Coordonnées

Institut de recherches et d’études féministes
Local VA-2200
210, rue Sainte-Catherine Est
Montréal (Québec) H2X 1L1