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COURS HIVER 2024: FAM300D au 1er cycle sur les approches queer des arts

🏳️‍🌈 Les perspectives queer et les arts vous passionnent? Ne tardez pas à vous inscrire au cours FAM300D – Approches queer des arts offert à l’hiver 2023 !

Ce cours est une introduction aux approches queers des arts, qu’il s’agisse de la danse, de la musique, de l’architecture, des arts visuels et des arts vivants, des études littéraires et du design. En étroite concordance avec les études culturelles et féministes ou de genre, ce cours mobilisera des conceptions queers liées, entre autres, à la non-binarité, à l’hétéronormativité, à la déconstruction du sexe et du genre, telles qu’elles peuvent se manifester dans les arts vivants, les objets ou la création littéraire et en les croisant avec d’autres politiques du corps.

➡️ Proposé par la Faculté des arts, ce cours s’adresse à la fois aux personnes étudiantes inscrites dans les programmes de 1er cycle de la Faculté des arts, aux personnes inscrites au Certificat en études féministes (accepté dans le bloc "Représentations"), aux concentrations de 1er cycle en études féministes, ainsi qu'à toute personne (étudiant.e.s libres et auditeur.ice.s) intéressée à suivre un cours sur les théories et les arts queer.

Il est enseigné par Dinaïg Stall, professeure à l'École supérieure de théâtre.

📅 Les vendredis de 14 h à 17 h, dès le 8 janvier 2024


🔗 Pour t'inscrire, par ici :

Conférence «Démarche queer de Gabriel Dharmoo» (21-06-2022)

Au croisement de la voix, de la performance, de l’art sonore et du drag

Dans le cadre du cours Approches queers des arts, Dinaïg Stall reçoit l'artiste Gabriel Dharmoo pour parler de sa démarche musicale et performative, notamment de la rencontre qu'il opère dans son dernier spectacle, Bijuriya, entre son travail de composition et l'univers du drag.

Date / heure - mardi 21 juin 2022 de 14 h à 15 h 15 UQAM - En ligne sur Zoom

La pratique artistique multidirectionnelle de Gabriel Dharmoo touche la composition musicale, le drag, la conception sonore, la performance vocale et la recherche. Suite à une formation de compositeur, il développe une pratique interdisciplinaire autour de la voix, l’identité mixte, la brunitude, le queer, le concept de culture imaginaire, la satire, ainsi que de l’interaction entre tradition et subversion. Son spectacle solo Anthropologies Imaginaires a tourné internationalement (Usine C, PuSh Festival, Sydney Festival, EXPERIMENTICA) et a été primé au Amsterdam Fringe Festival (2015) et au SummerWorks Performance Festival (2016). En tant que compositeur, il est lauréat du Prix Jules Léger du Conseil des Arts du Canada pour Wanmansho (2017) et d’un prix Opus du Conseil Québécois de la Musique pour son opéra À chaque ventre son monstre (2018). Le nouveau spectacle solo Bijuriya est l’aboutissement de son travail musical et performatif en drag, après avoir été actif sur les médias sociaux (@bijuriya.drag) et la scène drag locale de Montréal depuis 2019.

Pour y participer en zoom: inscrivez vous.

https://uqam.zoom.us/j/85778685442?pwd=L1I1RWk0MHBITGs2enM3Mjl4SlRhQT09

ID de réunion : 857 7868 5442 Code secret : 116376 (avec inscription) 

ÉTÉ 2022: NOUVEAU cours sur les approches queers des arts (campus de Longueuil de l’UQAM)

FAM300D : Approches queers des arts

COURS // FAM300D - Problématiques actuelles en art

https://etudier.uqam.ca/cours?sigle=FAM300D

1er cycle, 3 crédits, cours hybride en mode intensif à l’été 2022

Ce cours est une introduction aux approches queer des arts, qu’il s’agisse de la danse, de la musique, de l’architecture, des arts visuels et des arts vivants, des études littéraires et du design. En étroite concordance avec les études culturelles et féministes ou de genre, ce cours mobilisera des conceptions queer liées, entre autres, à la non-binarité, à l’hétéronormativité, à la déconstruction du sexe et du genre, telles qu’elles peuvent se manifester dans les arts vivants, les objets ou la création littéraire et en les croisant avec d’autres politiques du corps.

Proposé par la Faculté des arts, ce cours s’adresse à la fois aux personnes étudiantes inscrites dans les programmes de 1er cycle de la Faculté des arts, les personnes inscrites au certificat en études féministes, aux concentrations de 1er cycle en études féministes, ainsi que toute personne (étudiant.e.s libres et auditeur.ice.s) intéressée à suivre un cours sur les théories et les arts queer.

Où : Université du Québec à Montréal - Campus de Longueuil

Adresse : 150, place Charles-Le Moyne - Local : 8610 (accessible à partir du métro Longueuil)

Du 3 mai au 21 juin 2022

  • Mardi : 14h-17h
  • Jeudi : 14h-17h

Professeure : Dinaïg Stall, École supérieure de théâtre, membre de l’Institut de recherches et d’études féministes

Poste de professeur.e en pratique artistique, approches féministes, queers et de genre

L’UQAM et l’École des arts visuels et médiatiques recherchent des candidat.e.s afin de renouveler son corps professoral et assurer un développement de qualité dans tous ses domaines d’activité.


La personne candidate devra être une artiste dont la pratique de création démontre une réflexion critique et une maîtrise des enjeux théoriques concernant les approches féministes, les postures queers et les enjeux de genre dans le champ de l’art. Elle aura développé une pratique de création, des méthodologies artistiques et une pédagogie qui représentent les relations de pouvoir et la binarité, et qui entament un dialogue entre la construction sociale et l’identité et les postures d’artiste (indisciplinée, anticonformiste, contestataire, queer, etc.). Son approche de la recherche-création sera réflexive, c’est-à-dire conçue comme un travail intégrant la pratique, la théorie, l’expérimentation et la création. Elle saura démontrer sa connaissance des pratiques artistiques (actuelles et historiques) traitant de questions telles la marginalisation, l’agentivité et l’émancipation. Elle saura également démontrer sa connaissance des questionnements théoriques sur le sujet et en situer les développements récents.

Échéance le 4 mars 2022 à 17h

Tremplin, no.4, 2013, «Où en sommes-nous avec l'art féministe? La Centrale Galerie Powerhouse (1973-1978 et 2007-2010)»

Par Kim Rondeau. Cahier de l'IREF, Collection Tremplin, No. 4, 90 pages, 2013

Au cours des 10 dernières années, de nombreux évènements en arts visuels se sont penchés sur la question du féminisme, malgré l'annonce de la mort de ce courant politique par plusieurs discours populaires. Effectivement, l'avènement des champs d'études queer et postcoloniales, à la fin de la décennie 1980, reconceptualise et complexifie le sujet du féminisme, la femme. Les fondements de l'identité femme, la fixité de cette catégorie, se voient maintenant interrogés. De ce fait, les prémisses mises de l'avant par les féministes des années 1970, moment fort du mouvement de libération des femmes, se verront critiquées.

Dans un tel contexte, nous souhaitons questionner l'art féministe actuel et voir comment il se manifeste. Plus spécifiquement, nous analysons de quelle façon il diffère des pratiques féministes inaugurées dans la décennie 1970. C'est sur cette problématique que s'attarde cette recherche prenant pour corpus d'étude les expositions présentées, de 1973 à 1978 et de 2007 à 2010, au centre d'artistes féministe montréalais La Centrale Galerie Powerhouse. Ce lieu de diffusion, fondé par des femmes désirant avoir un endroit pour exposer leur art à un moment où elles étaient exclues des institutions, est un témoin privilégié des relations qu'entretiennent le discours artistique et les théories féministes. La Centrale Powerhouse a d'ailleurs modifié son mandat en 2008 dans le but de demeurer pertinent face aux changements ayant lieu au sein du courant féministe. À travers notre étude comparative de la programmation du centre d'artistes ainsi qu'une lecture féministe de ces œuvres, nous voulons démontrer que des démarches politisées, enrichies par de nouvelles préoccupations queer et postcoloniales, demeurent possibles.

Cette publication est disponible en libre accès

Agora, no.8, 2017, «Féminismes, sexualités, libertés»

Sous la direction de Lori Saint-Martin, Thérèse St-Gelais et Caroline Désy, Cahiers de l'IREF, collection Agora, no 8, 2017, 69 pages.

De l’ensemble des textes réunis ici, où sont convoqués tour à tour le politique, les médias, la fiction, le théâtre et le cinéma, ressortent deux principaux fils conducteurs. D’une part, les questions de privilèges hétérosexuels, de « race » ou de classe, inséparables d’enjeux de pouvoir et de violence qui traversent presque toutes les études. D’autre part, les écueils, les défis et l’immense part de créativité liés à un désir de renouveler les représentations dominantes en montrant le plaisir et le désir au féminin pour un public lui aussi féminin (ou encore, mais les textes publiés ici l’envisagent relativement peu, relevant d’une minorité de genre). Les nombreuses controverses, contradictions et ambiguïtés relevées au fil des textes illustrent autant l’emprise des pratiques et représentations patriarcales que le riche potentiel de résistance des pratiques militantes et artistiques féministes, à condition de combattre sans cesse les nouvelles exclusions et réductions au silence.

Avec des textes de : Wendy Delorme, Isabelle Boisclair, Nicole Côté, Marie-Claude Garneau, Polly Galis, Julie Beaulieu et Élisabeth Mercier. Précédés d’une présentation de Lori Saint-Martin, Caroline Désy et Thérèse St-Gelais.

Cette publication est disponible en libre accès, en version web.

Institut de recherches et d'études féministes

Créé en 1990, l’Institut de recherches et d’études féministes a pour mission de promouvoir et de développer la formation et la recherche féministes dans une perspective interdisciplinaire. Il constitue un regroupement de plus de 700 membres professeur·e·s, chercheur·e·s, chargé·e·s de cours, professionnel·le·s, étudiant·e·s de l’UQAM, ainsi que des membres associé·e·s.

Coordonnées

Institut de recherches et d’études féministes
Local A-3700
400, rue Sainte-Catherine Est
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